L'un des arguments pour défendre l'Europe - genre désespéré - est d'estimer que de toute façon tout est pourri en France, et que donc en encourageant l'Europe on ne peut pas faire
pire (c'était l'idée de quelqu'un que j'aime bien pour le lire depuis longtemps, Michel Volle).
Il y a quand même des fois où l'on peut se demander si c'est vraiment mieux. Ainsi, sur le blog de Jean Quatremer, un Maragojipe défendait l'idée qu'il y a tellement de lobbyistes à Bruxelles que cela en devient démocratique.
Réponse d'un autre commentateur régulier de J4M, le très posé Walter Nepigo :
Bon, par la suite (il y a 130 commentaires au moment où je rédige ce billet, les courageux pourront essayer de suivre le fil ici) le débat continue.
J'aime beaucoup le cri du coeur de Walter Nepigo (l'intérêt général ne peut être la somme des intérêts particuliers, en gros), qui signe irrémédiablement un esprit perdu pour l'Europe, empreint d'une francitude philosophique déplorable.
Il y a quand même des fois où l'on peut se demander si c'est vraiment mieux. Ainsi, sur le blog de Jean Quatremer, un Maragojipe défendait l'idée qu'il y a tellement de lobbyistes à Bruxelles que cela en devient démocratique.
Réponse d'un autre commentateur régulier de J4M, le très posé Walter Nepigo :
J'aime beaucoup le cri du coeur de Walter Nepigo (l'intérêt général ne peut être la somme des intérêts particuliers, en gros), qui signe irrémédiablement un esprit perdu pour l'Europe, empreint d'une francitude philosophique déplorable.